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Tony Bennett
Revivez la magie de Tony Bennett, l’un des crooners favoris de l’histoire de la musique. Enregistré au Royal Albert Hall de Londres le 2 mars 1974, ce concert enchanteur met en lumière la virtuosité vocale et le charisme incomparables de Bennett alors qu’il se trouvait au sommet de son art. En compagnie de son directeur musical Torrie Zito et d’un orchestre composé de musiciens britanniques, dont Kenny Clare (batterie), Don Lusher (trombone) et Kenny Baker (trompette), Bennett interprète des versions captivantes de « The Good Things in Life », « My Favorite Things », « My Love », « I’ve Got Five Dollars », « It Don’t Mean a Thing » et « Maybe This Time ».
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The Jig - Live in Rio
The Jig est un septuor funk né à Amsterdam. Figurant parmi les rares groupes funk en bonne et due forme, The Jig interprète des œuvres instrumentales originales avec un groove contagieux et une attitude rock dans le cadre de prestations live galvanisantes. Ses sonorités contemporaines et authentiques intègrent des éléments propres au soul, à la musique africaine, au jazz et au rock, et s’inspirent de légendes de la musique telles que Bootsy Collins, Tower of Power, James Brown, Average White Band et The Meters. La formation est composée de Willem Pluk à la trompette, de Jeroen van Genuchten au saxophone ténor, de Koen Schouten au saxophone baryton, de Bas Grijmans au clavier, de Martijn Smit à la guitare, d’Arry Niemantsverdriet à la basse et de Niels van Groningen à la batterie.
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Anne Chris: Just Kissed The Sun
Qu’arrive-t-il lorsque deux musiciens sont « emprisonnés » sur un navire de croisière pendant une semaine? Un album voit le jour. Enfin, c’est ce qui s’est produit quand Anne Chris et le pianiste Daan Herweg se sont trouvés dans le même voyage de croisière. Après avoir passé une semaine à offrir du divertissement musical aux passagers, les deux sont partis en studio ensemble. L’année suivante, Anne Chris lançait son nouvel album Just Kissed the Sun. La chanteuse néerlandaise présente son troisième disque au North Sea Jazz Club, avec l’artiste invité Bas van der Wal à la guitare. En plus du soleil, les musiques de Robert Glasper, Gretchen Parlato, John Mayer, Esperanza Spalding, Jill Scott et Michael Jackson semblent avoir servi d’inspiration à cet album joyeux.
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Freddie Hubbard Quintet, Bruxelles, 1980
Au moment de l’enregistrement de ce concert au Brussels Jazz Club, à l’été 1980, le trompettiste Freddie Hubbard jouissant déjà d’une réputation enviable. Dans les années 1960, Hubbard est devenue une figure de proue du mouvement hard bop, tout en s’intéressant à l’avant-garde aux côtés de John Coltrane, Eric Dolphy et plusieurs autres. Dans les années 70, il a élargi sa palette musicale en explorant notamment les instruments électriques et les arrangements orchestraux. Dans ce concert filmé à Bruxelles, Hubbard fait étalage de toute l’expérience qu’il a accumulée en compagnie de David Schnitter (saxophone ténor), Billy Childs (clavier), Larry Klein (basse) et Sinclair Lott (batterie). Le quintette passe habilement des instruments acoustiques aux instruments électriques, tandis qu’Hubbard divertit la foule avec ses bouffonneries.
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Tribute to Django Reinhardt: Rosenberg meets Beets
Le pianiste néerlandais de renommée mondiale Peter Beets a partagé la scène avec les plus grands du jazz : Chick Corea, Wynton Marsalis, “Toots” Thielemans, Elvin Jones, George Coleman, Johnny Griffin, Benny Golson et John Clayton. Depuis sa tendre enfance, Beets a été entouré de musique. Sa mère, une pédagogue musicale, l’a introduit à la musique classique, tandis que son père, un fervent admirateur d’Oscar Peterson et d’Art Blakey, lui a présenté l’univers du jazz. Bien que les parents de Beets n’aient jamais considéré que la musique puisse être associée à une carrière viable, celle-ci a toujours coulé dans les veines de la famille. Dans cette diffusion présentée sur les ondes de Stingray DJAZZ, Peter Beets partage la scène avec les Stochelo Rosenberg, Martin Limberger et Frans van Geest, spécialistes du jazz tzigane. La cohésion du collectif, la force et la précision des rythmes époustouflants et du tempo insaisissable de Van Geest, et l’aisance avec laquelle la guitare de Stochelo résonne au-dessus de l’impressionnante section rythmique font de cette formation un incontournable dans le monde du jazz. Ce concert hommage à Django Reinhardt regroupe des compositions classiques de ce dernier, des standards jazz ainsi que des pièces hautement mélodiques composées par Stochelo lui-même.
04:40
Festival international de jazz Adolphe Sax
Le 4 juin 1962, le premier Festival Adolphe Sax a eu lieu à Dinant (Belgique), où Adolphe Sax, l’inventeur du saxophone, est né en 1814. Sans surprise, la plupart des artistes au programme de cet événement international de jazz sont des saxophonistes. Un quatuor belge composé du saxophoniste ténor Jacques Bailly, du guitariste Willy Donni, du batteur Bruno Castellucci et du bassiste José Bedeur ouvre le festival. Un deuxième moment fort du festival est la performance en trio du pianiste belge François Boland avec le bassiste américain Jimmy Woode et le batteur belge Freddy Rottier. Ils sont rejoints par quatre saxophonistes de renommée mondiale : l’Allemand Klaus Doldinger (ténor), le Belge Jacques Pelzer (alto), le Britannique Derek Humble (alto) et l’Autrichien Karl Drewo (ténor). Après plusieurs solos et un rappel commun, une véritable légende du saxophone apparaît sur scène : le vétéran américain Coleman Hawkins (ténor). Accompagné de ses compatriotes Jimmy Woode (basse) et « Kansas » Fields (batterie) ainsi que du pianiste français George Arvanitas, Hawkins livre un concert d’une heure comprenant « Disorder At The Border », « Autumn Leaves », « Lover Come Back To Me », « Moonlight In Vermont », « All The Things You Are » et « Ow! ». Ce concert conclut avec perfection le premier festival de jazz créé en l’honneur d’Adolphe Sax.
07:00
Saluzzi, Mariano & Dauner live in Stuttgart
Figurant parmi les plus éminents maîtres du tango d’Argentine, Dino Saluzzi bâtit son héritage depuis la deuxième moitié des années 80, de sorte que son jeu de bandonéon, très proche de l’accordéon, en est venu à définir le tango argentin. Au cours de sa carrière, Saluzzi a exploré plusieurs avenues artistiques, sur lesquelles il s’est rarement aventuré à plus d’une reprise. Cette performance rare, intense et intime en collaboration avec Charlie Mariano (saxophone) et Wolfgang Dauner (piano) regroupe tango, musique classique et grands favoris internationaux.
07:58
November Music: R. Frerichs/H. Alizadeh/Cello8ctet
Le festival November Music de ‘s-Hertogenbosch est l’événement phare aux Pays-Bas pour découvrir le meilleur de la musique actuelle, au sens le plus large du terme. On y présente un mélange éclectique de compositions contemporaines, de pop expérimentale, d’art sonore, de musique non occidentale, de jazz et d’improvisation libre. Le concert de clôture de l’édition 2016 du festival représente un bon exemple de cette richesse musicale : le trio du jeune compositeur et pianiste néerlandais Rembrandt Frerichs y livre une merveilleuse prestation en compagnie de l’ensemble Cello8ctet Amsterdam et du joueur de târ iranien Hossein Alizâdeh. Rembrandt Frerichs a étudié à New York et a habité au Caire pendant plusieurs années. Sa musique combine l’entrain du jazz américain, le lyrisme de la musique du Moyen-Orient et la sensibilité de la musique de chambre de Claude Debussy et de Maurice Ravel. La rencontre du trio de Frerichs, de Cello8ctet et d’Alizâdeh offre un résultat tout à fait unique : leur sonorité est un miracle de créativité organique, et l’exemple parfait de la fusion de la musique d’hier et d’aujourd’hui.
09:14
Dionne Warwick live at the 27 Club
La chanteuse virtuose Dionne Warwick est reconnue à l’échelle mondiale pour son registre vocal impressionnant, allant des graves profondes aux aiguës cristallines, maîtrisées avec une aisance presque troublante. Mais au-delà de sa voix chaude et puissante, Warwick possède une élégance envoûtante, une présence scénique assurée et une capacité inégalée à raconter une histoire en chanson. Avec le compositeur Burt Bacharach et le parolier Hal David, Warwick a fait figure de précurseur dans la musique de variétés (qualifiée de middle of the road pop en anglais), une pop étonnamment simple, mais jamais simpliste. Soixante pièces de Warwick se sont hissées sur les palmarès américains, et ses albums se sont écoulés à quelque 100 millions d’exemplaires. Cet enregistrement exceptionnel, filmé en 1964 au 27 Club de Knokke, en Belgique, met en scène la chanteuse, alors âgée de 23 ans, au tout début de sa carrière.
10:01
Sammy Price and his All Star Orchestra
Le pianiste texan Sammy Price (1908-1992) trempait dans une variété de styles jazz, du blues au boogie-woogie, en passant par le swing et le jump-blues. Après avoir fait ses débuts à Dallas comme chanteur et danseur au sein de l’orchestre d’Alphonso Trent, Price est déménagé au Kansas pour fonder les Texas Bluesicians. Vers la fin des années 30, il a accompagné plusieurs grandes vedettes, notamment Sister Rosetta Tharpe et Trixie Smith, à titre de pianiste résident de l’étiquette Decca. Price était aussi à l’aise au sein d’un trio blues qu’à la tête d’un big band, pour offrir au public de l’époque le jump-blues populaire à l’époque. Dans cet enregistrement de 1958, Price participe au festival de jazz de Comblain-La-Tour avec son groupe.
10:43
PC Qwintett: 75e ans de Courbois
Depuis les années 1960, Pierre Courbois est l’un des plus éminents artistes de jazz néerlandais et européens. Lors de ce concert, enregistré à la célèbre Bimhuis d’Amsterdam, le batteur joue avec son Qwintett. En 2015, Courbois a célébré ses 75 ans. Dans ce cadre a eu lieu le Pierre Courbois 75 Years Anniversary Tour. Le Quintett comprend plusieurs artistes de jazz néerlandais renommés avec qui Courbois a travaillé au long de sa carrière. Parmi eux se trouvent le pianiste Niko Langenhuijsen, le contrebassiste Egon Kracht, le trompettiste Toon de Gouw et le tromboniste Ilja Reijngoud. Le Qwintett joue dans la tradition de Charles Mingus, proposant un jazz thématique et mélodique, mais avec un groove à la Courbois ! Courbois est célèbre pour sa propre façon de combiner compositions et improvisations, fusionnant des constructions mélodiques et des solos virtuoses.
12:34
Martin Fabricius Trio - Under the Same Sky
Élève du légendaire Gary Burton, le Danois Martin Fabricius est un vibraphoniste et compositeur de musique de film. Depuis la parution de son premier album en 2008, il se produit à l’échelle mondiale devant un public sans cesse croissant composé de passionnés de jazz comme de néophytes. Fabricius est également un soliste et un musicien invité très recherché, et s’est notamment produit aux côtés du grand trompettiste Tomasz Stanko et du bassiste Steve Swallow.
13:22
Christian McBride - Brother Malcolm
Le 20 juillet 2018, le contrebassiste Christian McBride s’est produit aux côtés de la formation New Jawn au Malta Jazz Festival. Cinq fois lauréat d’un prix Grammy, McBride est l’une des figures les plus populaires, les plus enregistrées et les plus respectées de la scène musicale actuelle. Ce visionnaire musical natif de Philadelphie combine adroitement jazz, R&B, pop, rock, hip-hop, néo-soul et musique classique. Il est ici accompagné par Nasheet Waits (batterie), Marcus Strickland (saxophone ténor) et Josh Evans (trompette).
13:38
Breaking Point
En 1988, Dee Dee Bridgewater a été l’une des premières grandes chanteuses jazz à se produire au festival Jazz à Ramatuelle. En 2016, l’histoire semble se répéter alors que sa fille China Moses monte sur les planches de Ramatuelle. Au fil des ans, China Moses est devenue une interprète mature au style unique : voix rocailleuse, sens aiguisé du swing, et présence scénique intense et énergique. Après avoir signé des compilations dédiées à Dinah Washington et au blues, Moses a fait paraître en 2016 un album de ses propres compositions, intitulé Whatever. Préparez-vous à assister à une performance des plus divertissantes combinant jazz, soul et hip-hop.
14:03
Ella Fitzgerald in Brussels: The American Songbook
Ella Fitzgerald: Live in '57 présente « la Grande Dame du Jazz » dans une concert distinct. L’un se trouve être le premier concert d’Ella à avoir été filmé dans son intégralité. Lors de cette représentation, en Belgique, en 1957, Ella se produit sur scène avec de grands noms du jazz, comme Ray Brown, Herb Ellis, Jo Jones ainsi que le légendaire Oscar Peterson. Ils jouent des standards tels que « Lullaby Of Birdland » ou encore « It Don’t Mean A Thing (If It Ain’t Got That Swing) ». Bien qu’elle voulût devenir danseuse, Ella Fitzgerald écoutait les disques de Louis Armstrong, Bing Crosby et les Boswell Sisters dès son plus jeune âge. Après ses débuts lors d’un concours de talents en 1934, Ella s’est joint à l’orchestre de Chick Webb, avec lequel elle a enregistré plusieurs chansons à succès. Elle a pris le contrôle de l’orchestre après la mort de Chick Webb. Ce n’était que le début de sa carrière. Ella Fitzgerald est devenue célèbre en tant que ‘First Lady of Song’ et ‘Queen of Jazz’, avec une tessiture de trois octaves. La chanteuse de jazz américaine était surtout appréciée pour son ton pur, son intonation, son phrasé et ses talents d’improvisation. En moins de 60 ans, Fitzgerald a vendu 40 millions d’albums et remporté 13 Grammy Awards pour ses interprétations superbes de chansons du Great American Songbook.
14:45
Anita Oday Live in Sweden 1963
Ces deux merveilleux concerts d’Anita O’Day, filmés en 1963 et en 1970, présentent cette grande dame du jazz dans une forme impeccable. Son chant unique est mis en valeur par des interprétations exceptionnelles des populaires « Tea For Two » et « Sweet Georgia Brown » (toutes deux reprises de son apparition triomphale au Newport Jazz Festival, en 1958). Ces concerts sont un hommage mérité à l’une des figures les plus authentiques du jazz, et illustrent sans équivoque pourquoi O’Day est classée au rang des chanteuses jazz les plus célébrées de l’histoire, aux côtés d’Ella Fitzgerald, de Sarah Vaughan et de Billie Holiday.
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On Piano
Le jazz a pris racine en Lettonie dans les années 1920. Un siècle plus tard, ce documentaire retrace les deux premières décennies du jazz en Lettonie à travers le portrait de Jack Michalicky, le premier pianiste de jazz letton connu. Michalicky était un musicien de la tête aux pieds - un violoniste doué, il se sentait vraiment chez lui au piano. Svelte et agile, les doigts agiles du pianiste volaient sur les touches, comme par miracle. Apparemment infatigable, Michalicky jouait des solos improvisés pendant les pauses des sets du groupe, si les spectateurs le souhaitaient. Ce documentaire, bien que bref, est perspicace et place ce musicien remarquable dans le contexte du jazz post-Première Guerre mondiale en Europe. Il a été produit par le Letton Mareks Ameriks.
15:57
Jazz à Vienne
Jazz à Vienne est l’un des festivals de jazz les plus prestigieux au monde. Depuis 1981, il attire un mélange de légendes du jazz et de nouveaux venus passionnants, dont plusieurs reviennent régulièrement. Chaque année, le Théâtre Antique accueille des vedettes internationales exceptionnelles pour impressionner et inspirer leur public. En 2017, le pianiste et chanteur cubain Roberto Fonseca s’est produit à Jazz à Vienne. Mêlant jazz, soul afro-cubaine, hip-hop et électro, Fonseca embrasse à la fois le passé et le futur dans ce concert stimulant qui vous fera découvrir de nouveaux sons passionnants.