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Bakolo Music International - WOMEX 2018
Depuis 1994, la World Music Expo (Womex) attire des musiciens, des imprésarios, des agences de presse ainsi que des entreprises médiatiques du monde entier. Son événement principal se déroule chaque année dans une ville européenne différente : Berlin, Bruxelles, Marseille, Stockholm, Séville, Cardiff et Budapest, pour n’en citer que quelques-unes. L’édition 2018 du festival Womex s’est déroulée à Las Palmas, dans les îles Canari. Bakolo Music International, l’un des groupes en vedette, est un pionnier de l’âge d’or de la rumba congolaise. Le chanteur, guitariste et grand survivant Nzofu Moko Buele, mieux connu sous le nom de Bikunda, porte le flambeau allumé pour la première fois en 1948 par « Papa » Wend Kolosoy, père de la rumba congolaise et compositeur du premier succès du genre, « Marie-Louise ».
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Sazz Leonore sings Michael Bublé
Avec sa voix souple et douce, la chanteuse Sazz Leonore s’est faite un nom dans le monde du jazz néerlandais. Sazz a grandi dans une famille d’amateurs de jazz : dès son plus jeune âge, elle a développé un penchant pour la musique d’Ella Fitzgerald et de Billie Holiday. Sazz Lenore réussit à emporter son public dans les années 1960, tout en marquant la musique de sa propre empreinte contemporaine. Lors de ce concert, enregistré au North Sea Jazz Club d’Amsterdam, la chanteuse rend hommage à l’une de ses idoles : le chanteur canadien Michael Bublé. La voix de Sazz, son groupe solide et le répertoire intemporel de Bublé garantissent une soirée exceptionnelle !
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Episode 5: Chet Baker - Jazz Greats
Trompettiste et occasionnellement chanteur, l’Américain Chet Baker (1929-1988) était l’un des plus populaires musiciens des mouvements be-bop et cool jazz. À 10 ans, il a découvert la musique grâce à l’orchestre de son école, puis il s’est familiarisé avec le jazz dans l’armée, en 1946. Après avoir passé six mois en prison en 1953 pour possession de stupéfiants, Baker a formé son propre quatuor avec le grand pianiste jazz de la côte ouest Russ Freeman. Sa dépendance de longue date à la drogue l’a incité à offrir de nombreuses performances et enregistrements. D’une grande popularité en Europe, Chet Baker (trompette, voix) s’est joint à Jacques Pelzer (saxophone alto, flûte), Luigi Trussardi (basse), Franco Manzecchi (batterie) et René Urtreger (piano) le temps d’une performance à Bruxelles le 2 mai 1964. Ils ont interprété ensemble « Bye Bye Blackbird », « Isn't It Romantic », « Airegin », « Time After Time » et « So What ». Le 3 septembre 1979, Baker s’est produit au Kongsberg Jazz Festival en Norvège. Il était accompagné de Wolfgang Lackerschmid (vibraphone), Michel Graillier (piano) et Jean Louis Rassenfosse (basse) pour interpréter « Blue Train », « Softly », « As in a Morning Sunrise », « Five Years Ago » et « Love for Sale ».
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Katché & Origlio Quartet feat. Walter Ricci
Quatre musiciens d’exception nous invitent à réimaginer les titres pop et soul de Gregory Porter, Stevie Wonder, U2, Seal et plusieurs autres, dans des arrangements signés par le pianiste Alfio Origlio. Le chanteur d’origine napolitaine Walter Ricci nous fait pénétrer dans son univers unique, marqué par son incroyable sensibilité. Il est accompagné par les rythmes contagieux de Manu Katché à la batterie, de Jérôme Regard à la basse, et d’Alfio Origlio au piano. Le concert a été enregistré dans le cadre de l’édition 2020 du Festival Jazz au Sommet, en France.
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Maynard Ferguson Big Band, Bruxelles, hiver 1980
Le Brussels Jazz Club était rempli à craquer de musiciens et de spectateurs lorsque le Maynard Ferguson Big Band s’y est produit dans le cadre de sa tournée hivernale, en 1980. Dès les premières notes de la reprise de « Birdland » du groupe Weather Report jusqu’à la finale de « Gonna Fly Now », Ferguson donne à ses jeunes acolytes l’occasion de briller. L’admiration réciproque palpable entre Ferguson et les membres de son big band fait de cette performance un plaisir pour les spectateurs.
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Wynton Marsalis Quintet - North Sea Jazz
Le North Sea Jazz Festival est le plus grand festival de musique en salle au monde, reconnu mondialement comme l’événement où l’on présente le jazz d’hier, d’aujourd’hui et de demain en trois jours. En plus du jazz, genre musical phare de ce festival, on y entend aussi du blues, de la soul, du funk et du hip-hop. En 1982, le saxophoniste et compositeur américain décoré Michael Brecker et son groupe se sont produits au North Sea Jazz Festival à La Haye. Accompagné du saxophoniste Branford Marsalis, son frère, du batteur Jeff Watts, du bassiste Phil Bauer et du pianiste Kenny Kirkland, Wynton Marsalis, alors âgé de 20 ans, présente sa maîtrise d’ancien membre de la formation Jazz Messengers d’Art Blakey.
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Seine Sessions: Free & Afro Jazz
Le terme « jam-session » a vu le jour dans les années 20, lorsque des musiciens noirs et blancs se rassemblaient dans des cafés enfumés après leurs concerts respectifs pour s’amuser avec le type de jazz qu’ils ne pouvaient jouer au sein des ensembles traditionnels. Bing Crosby était un habitué de ces sessions, et s’amusait à marquer le premier et le troisième temps des phrases musicales en tapant des mains, geste que les musiciens ont surnommé « jammin’ the beat ». Aujourd’hui, les Seine Sessions redonnent vie aux belles années des « jam-sessions », tandis que la crème des scènes jazz, blues, manouche et funk parisiennes se produit sur les planches du restaurant et club de jazz légendaire Le Réservoir. Intitulé « Free & Afro Jazz », cet épisode animé par Eddy King présente des performances uniques livrées par des artistes qui jouent ensemble pour la toute première fois, et des entretiens avec Fantazio, Eddy Lopez, Banoit Savard et plusieurs autres.
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The Morgenland Festival: I Will Not Be Sad
Depuis 2005, le Morgenland Festival d’Osnabrück célèbre la culture musicale fascinante du Proche et du Moyen-Orient, des musiques traditionnelles et classiques à l’avant-garde, en passant par le jazz et le rock. La programmation du festival compte également des volets consacrés aux arts visuels, à la danse, au théâtre et aux projets interdisciplinaires. Jivan Gasparyan Jr a toujours été inspiré par les mélodies folkloriques de son Arménie natale. Son grand-père, également musicien, lui a appris l’art du duduk, un instrument d’origine arménienne.